Rappelez-vous, il a quelques semaines : je m'étais lancé le défi de ne pas râler pendant trois semaines, histoire de perdre cette mauvaise habitude. Tout au long de ces 21 jours, j'ai tenu mon journal de bord, et aujourd'hui, je vais vous présenter mon bilan. Ne pas râler : semaine 1
La première semaine a indéniablement été la plus dure. D'autant que j'ai l'impression que le karma a tout fait pour me plomber la vie.Problèmes au travail, de santé… Autant vous dire que ma résolution a été mise à mal dès les premiers jours, même si j'ai tout fait pour tenir bon. Ma technique ? Intérioriser, râler dans ma tête et éviter d'exploser en public… Et crier dans mon oreiller, le soir, pour me détendre.
Difficile
avant le début de l'expérience de se rendre compte à quel point le fait
de cacher son énervement à tout bout de temps est épuisant : râler pour des petites choses est au final un exécutoire pour relâcher un peu la pression.
Ne pas râler : semaine 2
Je commence de plus en plus à prendre le pli.
Pour l'instant, en 14 jours, je n'ai vraiment râlé qu'une fois alors
que, suite à un souci, j'ai dû passer 7h dans la salle d'attente des
urgences, en pleine nuit. Disons que c'était mon joker ! En tout cas, je commence maintenant à avoir de l'entraînement, et mes proches le remarquent. Certains me soupçonnent même de cacher un secret : non maman, je ne vais pas me marier !
Ne pas râler : semaine 3
Là, j'ai commencé à en avoir marre. Surtout à force d'entendre tous mes amis se plaindre. C'est en arrêtant de me plaindre que j'ai réalisé à quel point tout le monde passe son temps à se plaindre. Je suis quand même ravie que cette petite expérience touche à sa fin. Ne pas râler, c'est bien, mais de temps en temps… Qu'est-ce que ça fait du bien !
3 semaines sans râler : le bilan
© DR
Après mon défi du mois dernier, c'est l'heure du bilan.
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