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Au secours, ils veulent gâcher mes vacances !

Par Elle adore

Les vacances c'est le soleil, la plage... mais aussi les moustiques, les méduses et les insolations pour me rappeler que rien n'est jamais parfait. Ils attaquent ? On contre-attaque !

Les bestioles

Bzzzz... Une guêpe par-ci, un moustique par là : à la mer ou la campagne, la nature est nettement plus envahissante qu'à Paris.

C'est pas la petite bête qui va manger la grosse

mais on peut quand même se retrouver avec une bonne piqure, qui, au mieux démange et au pire peut devenir dangereuse. Alors, à part partir en courant, on fait quoi ?

La contre-attaque :

On tient les moustiques à distance en s'embaumant de lait répulsif dès qu'on passe la soirée dehors (toujours plus sexy que de se barricader derrière des manches longues et des chaussettes). En spray ou en lingette, ça prend 2 minutes et comme ça, ils iront plutôt piquer le voisin.

On évite les crèmes et parfums trop sucrés, qui ont le don d'attirer les guêpes et les abeilles.

En cas de piqûre, une seule chose à faire : enlever le dard le plus vite possible. C'est là que notre pince à épiler entre en action, sans oublier de bien désinfecter avant. Et au moindre signe d'allergie (gonflement, fièvre...), on file aux urgences !

Après toute piqûre d'insecte, on applique une bonne vieille crème apaisante et antihistaminique, type Apaisyl, qui soulagera la douleur et nous empêchera de nous gratter.

Les dents de la mer

A moins de s'offrir un stage de plongée du côté de la barrière de Corail, on a peu de chance de tomber nez à nez avec un aileron.

Notre monstre à nous, c'est la méduse,

dont les tentacules déchargent un venin urticant en cas de contact.

La contre-attaque :

Pas de panique : ça fait mal mais, chez nous, les méduses ne sont pas mortelles ! On commence par retirer soigneusement les éventuels fragments de tentacules qui peuvent être restés collés à la peau. Attention, ils peuvent toujours être urticants donc on utilise une pince ou à défaut, on recouvre la zone de sable pour les faire partir.

Ensuite, on rince longtemps à l'eau de mer. Et on prend notre mal en patience : la douleur peut persister une bonne demi-heure...

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