Bon cru (très bon même) des années 70, j’en ai soupé de Chantal Goya. La chance a voulu que je grandisse en Tunisie et que je sois dispensée des souliers magiques et consorts, mais quand même qu’est-ce que j’en ai soupé ! Traumatisée par le lapin qui a tué un chasseur, la cousine bécassine et les malheurs de Sophie, je ne souhaite à la jeune génération pour rien au monde de revivre ça ! Pitié !! Chantal, Laisse nos petits grandir à l’abri de tes robes meringues et de ta frange lissée (qui soit dit en passant doivent avoir aujourd’hui quelques heures de vols).
Revenir sur scène à plus de 70 ans après s’être encanaillé dans les boites de nuit au début des années 2000, sans déconner Chantal !
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Je suis desoler pour elle
Anonyme - Le 12/10 à 06:08 Signaler un abus