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Coup de gueule contre le Front National et ses militants

Par Elle adore

Aujourd’hui, j’ai envie de réagir face aux actions des militants du Front National et de ses dirigeants du 1er mai dernier.

J’aime bien regarder Le Petit Journal sur Canal +, c’est un fait. J’aime leur façon de tourner en dérision les politiciens, de montrer et démontrer certains propos et leurs reportages parfois fort intéressants, notamment dans les pays en conflit.

Le 1er mai 2015, soit il y a quelques jours, 3 personnes du Petit Journal (1 ingénieur son, 1 caméraman et 1 journaliste) ont été violentés par des militants du Front National, lors de la manifestation de ce parti place de l’Opéra à Paris.

D’après les images, il me semble qu’aucune de ces 3 personnes n’aient été injurieuses ou aient provoqué les militants du FN, ni même monsieur Gollnisch, dont les images ne peuvent que parler

d’elles-mêmes…

Je suis extrêmement en colère contre ce parti (qui n’est même pas capable de contrôler ses militants, bien qu’il n’en ait pas vraiment envie à vrai dire…) et totalement déçue de la réaction de ces militants. Je m’adresse à vous, vous qui croyez aux idéologies de ce parti, aux militants qui cautionnent ce geste débile : vous croyez que c’est conforme aux valeurs de la France et de la Liberté d’Expression que de violenter des journalistes, quant bien même vous n’êtes pas d’accord avec ce qu’ils disent ? Êtes-vous stupides à ce point ? C’est comme si j’allais vous mettre un poing gratos parce que je ne suis pas d’accord avec vous.

Non mais vous vous rendez compte ? On vit dans quel monde ?

Sans forcément être de gauche ou de droite ou de n’importe quel parti politique qu’il soit, ce genre de comportement est totalement intolérable, surtout après ce qui s’est passé le 7 janvier dernier. Certains semblent avoir la mémoire courte...

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1 commentaire(s)

Le Petit Journal sont de pseudo-journalistes qui violent toutes les règles de la déontologie. Ils n'ont eu que ce que méritent les petits staliniens de leur espèce. Et qu'on vienne pas me parler d'une prétendue "liberté d'expression" où on enferme en prison des pères de familles nombreuses pour le crime d'avoir démonté des légendes urbaines avec les propres documents de ses advsersaires...

Xiep - Le 27/05 à 10:13  Signaler un abus
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