Mademoiselle à la loupe !
Quand Mademoiselle fait les boutiques à Toulouse, où va-t-elle ?
Chez Paule Ka, pour le plaisir des yeux et l'inspiration ! Chez Zara, Tara Jarmon, Zadig & Voltaire, Sandro ou Maje.
Quand Mademoiselle part en week-end ?
A la campagne dans une maison de famille du côté d'Agen. Sinon à Rome ou à Barcelone en amoureux !
Si Mademoiselle va au restaurant ?
Au Carré Rouge, rue des Prêtres à Toulouse. Ou au Café Lusso le midi avec des copines !
Les folies de Mademoiselle ?
Les chaussures ! J'en achèterais tout le temps ! Sinon, mon matériel de dessin. Je m'achète tout ce qu'il y a de plus beau ! Les livres aussi. Je ne sais pas choisir, je prends tout !
Que lit Mademoiselle ?
J'ai adoré "Les Yeux jaunes des crocodiles" de Katherine Pancol, et "La Sorcière de Portobello" de Paolo Coelho. Un livre qui m'a beaucoup inspiré : "L'accro du shopping", de Sophie Kinsella !
Les couleurs de Mademoiselle ?
Le rose fushia ! Il y en a dans tous mes tableaux. En général, mon univers est très coloré, mais le rose revient souvent. J'aime aussi le côté graphique des rayures, des pois. J'aime bien créer des imprimés dans mes dessins.
La saison préférée de Mademoiselle ?
L'automne, pour la lumière et les températures.
Le personnage qui fait rêver Mademoiselle ?
Audrey Hepburn, pour sa classe dans "Petit déjeuner chez Tiffany".
Topissime !Le rêve de Mademoiselle ?
Créer une ligne d'accessoires. J'y travaille...
Les défauts et les qualités de Mademoiselle ?
Je suis très exigeante, avec moi et avec les autres. Mais je suis très positive. J'ai plein de doutes, mais j'y crois, j'avance !
Quelle amoureuse est Mademoiselle ?
Passionnée ! Même si aujourd'hui, j'ai moins le côté fougueux qu'on a à 20 ans. L'amour, ça se bâtit tous les jours...
Ce qu'Olivier Lapidus dit d'elle...
Le couturier, qui a travaillé pendant 8 ans avec Véronique, déclare : "Elle avait tout d'une aquarelle. Déjà. Je retrouve dans ses dessins d'aujourd'hui une forme de candeur aérienne : elle dessine comme elle drape : c'est une flouteuse.
.. Il y a chez elle le sens même de son nom : le goût. Une sorte de transparence naïve et insoumise à la fois... ses exquises esquisses ne sont ni tout à fait elle ni tout à fait une autre... Alanguies, sages, fâchées, cachées, camouflées sous un imprimé fauve, borsalinées ou arrachées du sol par une vespa aux accents 1946 : il y a un trait commun avec l'auteur dans ces filles-là".