Le journalisme beauté mène à tout, même au meilleur ! J'ai ainsi eu le grand honneur de jouer les jurés lors de l'examen de fin d'année de la célèbre Make Up For Ever Academy.
Retour sur une expérience haute en couleurs !
Make Up For Ever ou la réalisation d'un fantasme
Me la jouer Jenifer dans The Voice ou Marianne James dans Nouvelle Star, le scénario me tentait bien... L'occasion de crâner un peu et de glisser une des répliques dont les jurés-vedettes du petit écran ont le secret, style "Désolée mais je n'ai pas réussi à rentrer dans ton univers" ou le très glam "Là, tu m'as fichu les poils"....
Mais vu mes compétences artistiques limitées (je maîtrise
mieux l'application du fond de teint que mes gammes de solfège), il y avait peu de chances que ça m'arrive. J'ai cru donc rêver éveillée quand Antonella Podence, la directrice de la Make Up For Ever Academy m'a proposé d'intégrer le jury de leur examen final, qui consacre la formation longue dispensée par l'école de maquillage chaque année.Non seulement parce que nous sommes dans un domaine qui me passionne, la beauté, dans ce qu'elle a de plus artistique... Mais aussi parce que je suis depuis un petit bout de temps une grande amoureuse de la marque pro Make Up For Ever.
Mon carnet de bord d'apprentie-jurée
Le jour J, telle une enfant qui trouve ses cadeaux de Noël au pied du sapin, je découvre les étudiants de l'Academy en pleine effervescence créative.
Armée de leurs ombres, pinceaux et crayons, tous rivalisent d'imagination pour parer le corps nu de leurs modèles (que des demoiselles canonissimes et des beaux gosses à tablette de chocolat, soit dit en passant).On en vient ensuite aux choses sérieuses : je rejoins les autres jurés - des grands spécialistes de la discipline à côté desquels je me sens toute petite - pour checker les books des élèves, qui contiennent leurs travaux de l'année.
Puis nous devons les évaluer sur une autre épreuve, celle du vieillissement, qu'ils ont réalisée sur des volontaires il y a quelques semaines. Une sorte de lifting, mais à rebours, genre "imaginez-vous dans quinze ans".
Un brin stressant...Puis vient le point d'orgue de ces agapes : le défilé de body-painting. Emerveillée, je vois surgir devant moi des créatures sublimes, fantasmagoriques, plus tout à faits humaines. Difficile de garder la tête froide et de mettre des notes à chaque réalisation, tant le spectacle est beau.
Puis, à 19h30, le rideau tombe sur la fin de show...
Je rentre chez moi avec des petites étoiles dans la tête, à défaut de soleil au dessus (il pleut, pour changer).
Et une certitude : entre Make Up For Ever et moi, c'est pour la vie.
Redécouvrez notre article "Le défilé Make Up For Ever, comme si vous étiez" (en cliquant sur le titre du sujet) !