Sur les sourcils ou sous les aisselles, il paraitrait que s’assumer en tant que femme passerait par le poil. Soit je suis pas une femme, soit j’ai un souci mais le poil ne passera pas par moi.
J’ai certainement été mal élevée mais je ne voue pas un culte au poil, pour moi son destin est de se retrouver coincer dans une pince à épiler.
Bon, c’est caricatural mais l’idée est là.
Je n’ai pas franchi le cap de l’épilation intégrale puisque je trouve que ça faire trop « jeunette » et je n’ai pas non plus fait mes adieux à mes sourcils mais pour le reste je veille au poil… enfin… au grain !
Pour beaucoup, le refus du poil est un aveu de domination de l’homme.
Nous Femmes, nous devons nous épiler musique nous sommes des femmes, et les hommes eux ont le droit de conserver les leurs. Et bien, oui, j’aime cette inégalité, pour rien au monde je ne voudrais d’un homme sans poils. Et de mon côté, j’aime lever mes bras et y voir qu’une surface lisse sur mes aisselles, de même que pour mes jambes et pour le reste. je veux du doux sous mes mains. C’est de la sorte que je me sens femme. Pendant un temps, j'ai essayé de me voiler la face sur ce chois et je me disais que ce choix était hygiénique, mais non, je suis dans une relation esthétique avec mes ennemis.Peut être que mon rapport au poil est ringard mais j’ai ce besoin de lutter contre.
Je me sens à contre courant et oui, je me pose des questions sur mon féminisme lattant. Est-ce que je dois y voir un aveu de faiblesse face à la domination de l’homme ? M’ont-ils fait un lavage de cerveau ?
LATTANT ????? (latent) Hou, ça fait mal aux yeux !
Anonyme - Le 26/03 à 09:02 Signaler un abusc tout pouri ia déf ote
Anonyme - Le 11/11 à 11:13 Signaler un abus