Une partie de plaisir !
Attention : le plaisir est le maître mot de l'activité extrascolaire ! Pas question de pousser un enfant vers une activité par laquelle il n'est pas attiré (surtout sous prétexte que vous n'avez pas eu la chance de la pratiquer, vous !).De la même façon, la compétition n'est profitable que si elle est désirée par l'enfant lui-même ! On n'exige donc pas de lui des résultats comme on le ferait pour l'école : on le supporte, on l'encourage, on l'accompagne, et ça s'arrête là !D'ailleurs, à propos d'accompagnement... S'il est vrai que les activités pratiquées doivent rester un plaisir pour l'enfant, la logistique des transports doit être également gérable pour l'adulte !
Comment choisir ?
La plupart des enfants savent vers quelle activité ils souhaitent se diriger, soit par réel intérêt, soit pour faire comme les copains (merci le cours d'essai gratuit !). En cas d'indécision, il faut lui rappeler que ce n'est pas obligatoire (mais qu'il ne passera pas forcément plus de temps devant la télévision !), et/ou lui proposer une liste d'activités et en discuter ensemble. Il existe également la possibilité de l'inscrire dans un centre de loisir où il aura la possibilité d'essayer plusieurs ateliers et sports, qui sait, il trouvera peut-être là son bonheur ?! Idéal pour les " touche-à-tout " !
Pourquoi privilégier le sport ?
C'est bien connu : les enfants ont besoin de se dépenser ! A l'école, ils passent beaucoup de temps assis à leur bureau. Si vous les observez pendant les récréations, ils passent leur temps à courir, sauter, grimper... ! Le sport leur permet de libérer ce trop-plein d'énergie, par ses règles de jeu, il leur enseigne l'esprit d'équipe, la tolérance, la solidarité, le civisme et l'acceptation des lois. Il canalise les plus extravertis et socialise les timides !Les bienfaits du sport tant sur le plan physique que mental ne sont plus à prouver : surtout à une période où l'on se rend compte que nos enfants sont en surpoids et passent trop de temps devant la " nounou " télévision !
LE CONSEIL DE LA PSYCHOTHERAPEUTEAlors, comme pour tout, on évite les abus et on reste à l'écoute de son enfant : en cas de fatigue ou de douleur, on lui permet d'utiliser ses jours de repos comme...repos !!