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Portraits d'Amérindiennes : les descendantes des femmes chefs

Alors qu'elle purifie le Grand-Père en brûlant les quatre herbes sacrées, Diane envoie un halo de fumée vers moi : elle remercie alors mon cœur d'être généreux, ainsi que mes mocassins, de m'avoir menée jusqu'à elle.

 

 

Infos pratiques :

Y aller : Vols Paris-Québec, www.airtransat.com

Dormir et Dîner huron à Wendake : Hôtel Musée des Premières Nations, www.hotelpremieresnations.ca

Rencontrer Nancy : Site Onhoüa Chetek8e, www.huron-wendat.qc.ca

Écouter les légendes de Francine : Centre Tsonontwan, www.quebecweb.com

Expérimenter le mode de vie nomade traditionnel d'Elisabeth : Aventures Ashini, www.ashini.com

Suivre les danseuses de Diane : Andicha n'de Wendat, www.tambourdesfemmes.

com

Découvrir d'autres communautés autochtones au Québec: www.staq.net

Plus d'infos : www.bonjourquebec.com/fr 0 800 90 77 77 (numéro gratuit )

 

 

 

La gardienne du Tambour-Chef sacré

Diane laisse une impression imposante. Ou plutôt Sondakwa Andicha, la lune de l'aigle. L'aigle doit sans doute prendre le dessus sur la lune...

Diane transmet son héritage par la musique et la danse. Elle est la gardienne du Grand-Père, le Tambour-Chef sacré, élément hautement spirituel du Pauwau. Sa grand-mère, elle, lui a transmis les traditions amérindiennes, en silence, pas le biais de l'éducation.

Elle m'explique que si la femme a une place importante dans la société huronne, c'est parce qu'elle donne la vie.

 

Elle incarne la sagesse, sa parole doit être prise comme un enseignement. Et l'homme doit l'écouter et la respecter. Bien sûr, tout n'était pas parfait. Mais lorsqu'un homme levait la main sur une femme, on le marquait au fer rouge. Juste en dessous du cou. Une cicatrice, gage qu'aucune autre femme ne voudrait de lui après. Pas parfait, mais parfaitement pensé !

 

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