Voilà une comédie romantique un peu déroutante. Alors que la fin du monde est annoncée, un homme part à la recherche du grand amour.
Pourquoi y aller ?
Un premier film pour Lorene Scafaria
Connue pour être la scénariste du film Une nuit à New-York (avec Michael Cera), Lorene Scafaria signe ici sa première réalisation. Inspiré d'éléments très personnels, Jusqu'à ce que la fin du monde nous sépare est en quelque sorte un road-movie romantique, où humour et drame se mélangent savamment.
Copyright : SND
Steve Carell et Keira Knightley, un duo inattendu
Plutôt habitué aux comédies potaches (40 ans, toujours puceau ou récemment Crazy, Stupid, Love), Steve Carell relève un défi de taille avec Dodge, son personnage à la fois drôle, tendre et émouvant.
Keira Knightley tient aussi un rôle surprenant. Adepte des registres d'époque et dramatiques, c'est avec plaisir qu'on la retrouve ici dans le rôle de Penny, une fille pleine d'humour se retrouvant par hasard sur le chemin de Dodge.
Une comédie romantique sur fond apocalyptique
C'est une question que nous nous sommes tous posé au moins une fois dans notre vie : que ferions-nous si la fin du monde devait arriver bientôt ? Et qui plus est, dans 3 semaines... Un sujet bien délicat à traiter mais que la réalisatrice arrive à tourner à la dérision grâce à l'humour et surtout l'amour.
C'est quoi l'histoire ?
Après la découverte d'un astéroïde fonçant droit sur la Terre,
l'apocalypse est officiellement annoncée pour dans 3 semaines. Tandis que certains préfèrent s'adonner à tous les excès, Dodge, notre héros, réalise qu'il a mené une existence sans grand intérêt. Après s'être fait largué par sa femme, il se décide enfin à donner un tournant à cette vie ratée.C'est ainsi qu'il part à la recherche de son amour de jeunesse, sans nouvelles depuis 25 ans. Mais sur sa route, il va croiser Penny, une jeune fille spontanée, qui va complètement bouleverser son programme...
Jusqu'à ce que la fin du monde nous sépareUn film de Lorene ScafariaAvec Adam Brody, Steve Carell, Keira KnightleySortie
le 8 août 2012